Une calamité arrive ! ! [ Libre ]

Allonger dans un endroit très luxueux et bien confortable, l'étalon dormait paisiblement. Il se trouvait dans le noir complet. Les voyages le fatiguait énormément... Le temps était lent et semblait interminable... Calamity Joe savait très bien qu'il était en train de changer de propriétaire, après seuleument 3 mois passer chez ce bourgeois. Cela le rassurait de changer ! Las bas, il s'ennuyait à mourir. Enfin, tout s'arrêta. L'équidé entendit une porte s'ouvrir et se refermer aussitôt. Il se leva d'un coup, avec puissance, dressa ses oreilles et attendit qu'on lui ouvre. Il n'attendit pas éternellement et bientôt, il pouvait apercevoir la douce matinée. Le riche entra dans le van et s'avança vers son étalon, mais celui - ci plaqua ses oreilles en arrières et hennit sur l 'homme. Même si il n'avait qu'une seule envie, qui était de sortir d'ici, il voulait tout simplement embêter son maintenant ancien propriétaire. Tout cela ne dura pas longtemps et bien vite le bipède avait saisi l'étalon, une longe à la main, et il le fit sortir du sombre endroit.
Calamity Joe aperçu alors un magnifique endroit. Il regardait les alentours avec admiration. C'était tellement mignon ici... L'homme fit avancer doucement le cheval jusqu'à un des nombreux Paddocks. Il enleva la longe ainsi que le licol et referma soigneusement la barrière. Il parla avec un autre énergumène puis rentra dans sa limousine et quitta les lieux. Heureux d'être à l'air libre, Joe partit en coup de cu* dans le paddock, hennissent joyeusement, galopant à une grande vitesse, s'arrêta d'un coup, puis repartait encore ainsi de suite... Il envoya ses membres postérieurs en l'air, sa crinière claquait le vent au passage. Le nouveau Quarter Horse était enfin arriver ici...

Comme d'habitude, j'étais au courant qu'un cheval allait arriver. Normal vous me direz, je gère ce domaine Une calamité arrive ! ! [ Libre ] 774305

Je marchais le long du chemin qui menait aux paddocks quand une limousine faillit me renverser. Et le pire c'était que j'étais meme pas au milieu de la route. Je lancai un regard méchant au conducteur qui ouvrit sa fenetre et me brailla dessus. Je vis ensuite le van et comprit que c'était les propriétaires d'un cheval du nom de Calamity Joe. Quelle mémoire ! Je marchais a reculons continuant a regarder méchament le conducteur. Une fois que je recommençai a marcher normalement, j'arrivai enfin aux paddocks et vit un quarter horse en plein moment de défoulement. J'avais donc raison, quand on avait pris contact avec les propriétaires du cheval, je mettais douté a leurs voix quel genre de personnages c'étaient. J'allai a la barriere du corral et regardai le cheval se défouler. J'escalai la barriere et m'assis dessus.

-Coucou mon beau... Moi c'est Abby et toi c'est Calamity Joe c'est ça ? Tu as fait un bon voyage ?-

Je fis un sourire accueillant au cheval, et m'étirai un peu. C'était le matin, donc j'étais pas particulièrement réveillée. Je passai une main dans les cheveux et attendis une réaction du cheval.

Calamity Joe continuait son petit défoulement, après être rester très longtemps sans bouger dans un sorte de box qui roule. C'est alors qu'une jeune fille arriva vers le paddock où il se trouvait justement. L'étalon s'arrêta net quand celle - ci lui parla. Il tourna la tête vers l'humaine et l'inspecta du regard. Elle semblait jeune... Comme la fille qui avait aidé sa mère à donné vie. Bien sur, il n'avait rien capté à se qu'elle venait de dire. Mais sa voix était douce et tendre. Cela semblait détendre le cheval... Il galopa vers elle, puis quand il fut très proche, il tourna et fit un petit tour du paddock, toujours en envoyant ses membres dans l'air =D. Il trotta vers la jeune puis s'arrêta à un peu avant, de sorte à ce qu'elle ne puisse pas le toucher. Calamity Joe plaqua ses oreilles en arrières et hennit sur le bipède. Mais ceci ne dura pas longtemps et bientôt, elles étaient bien dresser en avant, ainsi que son regard qui était river sur la jeune.

Je fixais le cheval avec un petit sourire. C'était toujours amusant de voir un cheval débordant d'énergie. Quand le cheval s'appprochait de moi, je pensais que j'allais pouvoir le carresser mais il s'arreta avant. Je pris une mine deçu mais je fus très surprise quand le cheval baissa les oreilles et hennit. Je m'occrochai a la barriere car je perdis l'équilibre. Puis je remis droite pour plus de sécurité et je regardai l'étalon face a moi. Il n'avait pu son air méchant alors je tentai le tout pout le tout et je me laissai glisser le long de la barriere pour me retrouver dans le paddock. J'eppoussetai mes vetements, mon pantanlon de cheval et mon T-shirt noir. C'est vrai que j'avais un peu froid mais trop tard maintenant, je n'avais pas le temps et pas l'envie d'aller chercher une veste.

-Alors...-

Je parlais comme d'habitude d'une voix douce et accueillante avec le cheval. Puis je tendis le dos de ma main pour le laisser sentir ma main.

Mais même si la jeune fille était descendu sans faire de gestes qui peu effrayer un cheval, Calamity Joe recula brusquement. Ses oreilles étaient de nouveau en arrière. Puis, l'humaine tendit doucement la main vers lui, de sorte à ce qu'il puisse la sentir [Comme les chiens ]. Comme il y a un instant, ses oreilles étaient de nouveau bien droite, tourner vers la fille. Il fit quelques timides pas, puis pencha sa tête vers elle et sentit sa main. Il souffla dessus puis recula de nouveau, couchant ses oreilles en arrière pour la 3ème fois. L'odeur lui était inconnue, et quand il ne connait pas, ce cheval s'en méfie. Il repartit donc au galop, faisant un léger tour puis arriver droit sur elle, s'arrêta et se cabra peu avant elle, de sorte à ne pas la blesser. Elle ne devait pas croire qu'en 3 min elle pourrait lui faire des bisous. Ce n'est pas non plus pour rien qu'on l'a nommé ainsi ! Même la jeune fille du fermier avait mit pas mâle d'heures avant de pouvoir s'en approcher. pas à cause de la jument, mais c'était lui qui faisait l'abrutie, la narguant parfois. Même en grandissant, il n'avait pas changer. Son vraie nom au tout début était Joe, enfin c'est comme cela que la bipède voulait l'appeler, mais en le voyant ainsi, elle avait rajouter Calamity devant. Bref, l'étalon recula de nouveau, puis il secoua sa tête mais cela c'était parce que les mouches l'embêtait. Cependant, il ne quittait la jeune du regard.

Je souris quand le cheval sentit ma main mais je mettais réjouit trop vite. L'étalon reprit son air méchant repartit de plus belle. Quand il revint se cabrer face a moi je ne bougeai pas. Je savais très bien que si je reculais, c'était un signe que j'avais peur et de soumission. Mais j'avais pas peur et avec un cheval, j'avais toujours été gentille meme si je savais me montré autoritaire quand il le fallait.

-Eh bien Calamity Joe, on essaye de m'intimider hein ? Tu sais, peut etre que tes anciens propriétaires n'étaient pas gentils mais ici, tout le monde aime les chevaux et les respecte.-

Je ne savais pas si le cheval comprendrait ce que je disais mais j'avais parler d'une vois apaisante pour me rassurer. Je le regardai dans les yeux avec un sourire en coin. Puis je m'essayai sur le sol de sable, et je pris un pauvre brin d'herbe qui trainait. Je jouais avec, attendant une réaction du cheval ou bien pour voir si il était curieux ou je ne sais pas moi ! ^^. Je passai la brindille d'herbe le long de ma joue et la tendis au cheval pour je ne sais quel raisons Une calamité arrive ! ! [ Libre ] 774305

La jeune fille lui parla de nouveau. C'est alors qu'il dressa haut ses oreilles et l'écouta. Tout ce qu'il compris, c'était son prénom . Mais sa voix... Elle était si douce et apaisante... le cheval semblait hypnotisé par cela... L'étalon de mit à avancer lentement vers elle. La jeune était en train de jouer avec le brindille pendant qu'il avançait. Mais quand elle le tendit vers lui, il recula, les oreilles en arrière. Puis, voyant qu'elle ne cherchait pas à lui faire du mal, il avança vers la main avec méfiance. Joe tendit son encolure puis son nez vers elle, prit le petit brin d'herbe et recula aussitôt. Il souffla, regarda le ciel quelques instants, puis le paysage. La rosée du matin se trouvait bien présente. L'équidé tourna de nouveau sa tête vers la fille et il la regarda de ses yeux brun. Pour s'amuser, car l' humaine le regardait, il glissa sa jambe droite en avant puis plia son membre gauche à terre. Pour finir, il baissa sa tête vers celle de droite. L'étalon venait de faire la révérence à Abby...

Je souris encore une fois quand l'étalon pris la bridille d'herbe. Je posai mes mains sur mes jambes et observais l'étalon. Quand il fit la révérence, je fus surprise. Je me levai et fit une révérence aussi pour l'étalon. Puis je me relevai m'approchai doucement du cheval. Je ne savai pas si le cheval avait maintenant confiance en moi mais j'espèrais. Une fois près du cheval, je lui murmurais des choses a voix basse, toujours avec cette voix douce et rassurante. Je jouais énormément sur le jeu de la confiance avec les chevaux. Je préférais l'éthologie au saut d'obstacle. Je tendis la main mais cette fois c'était la paume de ma main avec un friandise dedans. Je souris a l'étalon et la lui tendis en lui mettant sous le museau.

-Tien c'est pour toi...-

Je trouvais le cheval superbe, il avait des allures et du caractère. J'adorais cela chez les chevaux. Je ne savais toujours pas vraiment quel genre de tour je voulais faire avec le cheval que je choisirais. Cela dépendrait aussi du cheval...

Il est vrai qu'avant de quitter l'endroit où il avait grandit, son maitre (le père de la famille) lui apprenait le dressage ainsi que Les facéties équestres. A force de travailler avec lui, l'étalon était capable de le faire tout seul, sans besoin à côté, étant donnée que l'homme lui avait ensuite appris à obéir à la voix. Chaque matin, quand le bipède arrivait pour travailler avec lui au champ, Joe avait prit l'habitude de lui faire la révérence... C'est pour cela que maintenant qu'il commençait à avoir confiance en elle, il lui avait fait la révérence parfaitement. La jeune fille lui fit de même, par respect surement. Ensuite, elle avança vers lui, lui murmurant des mots doux sur le même ton. Le stresse du cheval semblait évacuer petit à petit... Quand elle lui tendit un friandise, tout d'abord il recula avec méfiance, puis voyant que ce n'était que du pain dur, il avança doucement vers elle. Calamity Joe s'arrêta quelques centimètres avant, il essaya de faire comprendre à la fille de poser la pain par - terre en faisant des signes de tête. La friandise posée par - terre, l' équidé s'agenouilla sur ses membres antérieurs et tendit l'encolure vers le pain et le mangea, puis une fois manger, il se releva doucement. Ce cheval semblait être un expert dans ce domaine. D'ailleurs ce seras surement d'une grande utilité si il se devait de faire du spectacle . Il regarda la jeune fille dans les yeux. Cela l'amusait de faire ce genre de tour devant elle.

Je compris rapidement que le cheval ferait un superbe cheval de spectacle. Mais moi, déjà , dans mon tour, je voulais etre sur d'etre a cheval. Voilà, je compris enfin ce qui me plairais de faire. Des figures de dressage a crue sur un cheval. Mais il ne faudra pas que je me trompe dans le choix du cheval. Le cheval se releva et je regardai ce qu'il restait du pain, c'est a dire rien Une calamité arrive ! ! [ Libre ] 774305

. Je détaillai ensuite le cheval, il était vraiment beau et meme si ses anciens propriétaires n'avaient peut etre pas été très gentils, il avait l'air en bonne santé et il était vraiment imposant. Je regardai autour de moi mais il n'y avait personne. Je m'en fichais car tout ce que je voulais c'était de gagner la confiance du cheval, meme si je me disais que je l'avais déjà gagner en bonne partie, mais je voulais qu'il est bien plus que confiance en moi. Je ne voulais pas d'une relation de dominé dominant. Je voulais une relation d'amie ami avec tout les chevaux. C'était pour cela que j'étais dure avec un cheval que quand c'était vraiment un probleme. Quand le cheval se moquait et faisait un caprice. Mais jamais je n'étais violente, ferme mais jamais je ne tapais vraiment un cheval. C'était une petite tape, un "pitchinnette" souvent sur le bout du nez, mais sinon c'était beaucoup avec la voix que je jouais. Je restai cinq bonnes minutes a regarder le cheval sans bouger ni rien dire. Puis je tendis enfin la main, cette fois, dans l'espoir de pourvoir lui carresser le chanfrein.

-Tu me laisse te carresser ? Une calamité arrive ! ! [ Libre ] 474872

Une calamité arrive ! ! [ Libre ] 474872

-

Après avoir manger le bout de pain et fait une figure, il regardait la jeune fille. Celle - ci semblait perdu dans ses pensées pendant 5 bonnes minutes au moins... Après quoi, elle s'approcha doucement de lui, en murmurant une phrase qui semblait être une petite demande. Jusqu' ici, elle avait été bien patiente de l'attente de l'approche de Joe. Elle semblait vouloir caresser son chanfrein, ou je ne sais quoi... L'étalon recula un peu, et partit au grand trot dans le paddock. Il avait une sublime allure, un corps magnifiquement musclé. Sa robe baie brune reflétait. Il passa derrière la jeune, souffla sur ses cheveux, hennit doucement puis il se rua dans le paddock. Enfin, au bout d'un moment, il se remit au trot en se dirigeant vers l'humaine. Le cheval se mit au pas puis s'arrêta devans elle. Il pencha sa tête vers Abby, de sorte qu'elle puisse enfin le caresser...

Quand le cheval partit plus loin, je murmurai un "j'aurais du m'en douter". Ma main resta quelques secondes dans le vide, comme si il allait revenir mais finalement je croisai les bras et attendais le cheval. Quand il passa derriere moi et souffla dans mes cheveux, je ne pus m'empecher de rigoler et de passer une main dans mon cou. Je compris aussi que meme si j'avais un peu gagner la confiance du cheval, il me laisserait pas faire comme ça. Mais j'avais tout mon temps puis a ma grandre surprise le cheval revint vers moi et je crus comprendre qu'il voulait bien que je le carresse. Je souris et tendis la main, la posant doucement sur son chanfrein. Je le carressai longuement, comme si j'avais peur qu'il reparte encore et que je pourrais plus l'approcher.

-Tu as du caractere mon beau...-

Je souris et mis ma tete au niveau de la sienne. Du moin mon nez au niveau de ses naseaux. Je disais toujours des choses a voix basse. Je soufflai doucement de l'air chaud dans les naseaux du cheval. Il parait que lorsqu'on souffla dans les naseaux d'un cheval, il se souviendera de notre odeur, comme ce qu'il fait avec les autres chevaux.

La jeune fille avait enfin réussi à le caresser. Quand elle s'avança vers lui, son nez au niveau du sien, il ne bougea pas, mais avait du mal à voir le visage de la jeune au niveau de son chanfrein (normal pour un cheval...). C'est alors qu'elle souffla doucement dans ces naseaux. L'étalon eu un très léger mouvement de recul de la tête; mais quelques petites secondes plus tard, il était comme avant. Soudain, un petit chiot passait par la et marcha un peu près du paddock. Puis il passa derrière la jeune fille. Calamity Joe à une grande peur pour ses petits animaux et recula brusquement et galopait à toute vitesse à l'autre bout du paddock, toujours à son habitude d' envoyer ses membres postérieurs en l'air... Arriver l'autre bout, il eu comme un hennissement de détresse; et commença à se cabrer. L'équidé regarda la jeune et hennit dans sa direction. Joe était effrayer, paniquer.... Le cheval se tourna vers une barrière, recula un peu et commença à gratter le sol. Allait - il sauter ? Il y avait un grand doute la dessus...

Je ne compris pas ce qu'il se passa. Je vis le cheval reculer et partir. Je sentis soudain quelque chose dans mes pattes, je sursautai et tombai en avant, dans la poussiere du paddock. Je me relevai rapidement et nettoyai mes vetements, ensuite je me tournai vers le chiot et je le regardai d'un regard méchant. Je lui fis un signe de la main et lui dis de s'en aller. Mais apparement, il n'était pas très obéissant, je fus obliger de lui courir après pour qu'il daigne s'en aller du paddocks et ne pas revenir. J'étais enormément énervé contre le chiot, pourtant c'était rare que je sois autant énervé face a un animal. J'avais les points serrés, j'étais déguoutée... Quand je me retournai pour m'occupé du cheval, je le vis face a la barriere.

-Que vas tu faire ?!-

Je souris, si le cheval sautait, c'était qu'il était très confiant en lui et qu'il savait bien sauté. La barriere était tout de meme a 1m25 et si il la touchait, il pouvait se blesser. C'était une barriere en bois et plutot solide, elle était neuve.

Bien que l'étalon avait regarder la petite scène pour faire fuir le chiot, il était toujours envahi d'une grande peur. La où il a grandit, dans cette petite ferme, c'était des gros chiens, donc il n'en avait pas peur. Même que, étant poulain, il jouait avec eux... Le problème c'est que si Calamity Joe saute, il y a une énorme chance pour qu'il parte bien loin. Bon, si on prend un cheval rapide et surtout endurant, on pourrait surement le rattraper car Joe n'est pas du genre à taper un autre cheval qui ne lui a rien fait... Oui, la barre était haute, mais on lui avait appris à sauter par dessus sa quand il y avait un problème sois en dehors du pré; sois dedans. (Genre une vache qui est partie... Ou un gros chien intrus qui est rentrée dans leur pré... Pleins de truck comme sa quoi ^^). Une dernière fois, l'équidé se retourna vers la fille. Son regard avait entièrement changer. Il avait un regard simple, un regard de confiance... Et oui, notre Joe à un grande confiance en lui... Il gratta de nouveau le sol, recula un peu avant d 'entamer un petit galop et de sauter impeccablement, sans toucher la barre. L'étalon hennit de plus belle, se mit de profil vers Abby. L'animal se cabra puis partit au petit galop... On aurait pus croire qu ' il allait bien partir, mais non... Celui - ci allait en direction de l 'adolescente. Arrivé devants elle, il la regarda d' un regard doux, calme... Vraiment, on ne pouvait jamais savoir ce que faisait Joe... On croit qu'il veut faire une chose mais il ne la fait pas et fait autre chose qu'on s'attendait le moins... Le mammifère souffla et lança ses yeux brun en direction de la poche du bipède...

Je regardais le cheval et fus très surprise de le voir sauter la barrière. J’eus un petit sourire en coin. Le cheval avait l’air très à l’aise à l’obstacle et surtout il avait l’air très réussi. La barrière était très haute et il ne l’avait pas du tout touché et l’avait bien franchi sans problème. Mais je pensais tout d’abords que le cheval allait partir, ce qui était très compréhensible du fait qu’il avait été enfermé pendant plusieurs heures dans un van, et puis quel cheval n’a pas envie de liberté ? Mais, à ma grande surprise, le cheval revint vers moi, je fis un grand sourire, et jetais un regard au chien. Il était encore là, celui là ! D’une voix ferme je demandais au chien de partir, seulement celui là ne trouvait rien d’autre à faire que de jouer à remuer la queue et de me regarder dans les yeux avec un regard de chien battu. Je me fis plus ferme et lui demandais encore une fois de déguerpir avant que je me fâche. Quand il daignât enfin s’en aller, je me retournais et voyais que le cheval était à mes cotés. Je passais une main dans mes cheveux pour ensuite la tendre vers le cheval dans le but de le caresser. Puis de mon autre main, je cherchais dans mes poches dans le but de trouver un bonbon pour chevaux.

-Tu vas peut être avoir de la chance !

Je finis par sortir une friandise et la tendis au cheval, l’autre main toujours tendue pour caresser le cheval. Même si j’avais pensé au début que le cheval n’allait pas revenir, je me trompais et je trouvais ce cheval très imprévisible. J’aurais bien aimé pouvoir le monter pour savoir un peu plus comment il était mais je ne savais pas encore si il avait assez confiance en moi…

L'étalon avança doucement mais surement un peu plus vers la jeune fille. Elle tenait la une friandise dans une de ses mains. Trop tenté par la nourriture pour réfléchir à quoi que se soit, Joe tendit son encolure et attrapa délicatement la nourriture. Le cheval la mâcha lentement, savourant chaque bouchée. Quand il eu finit, le mâle posa son regard sombre vers la bipède. Malgré le manque de confiance qu'il avait pour elle, cette fille semblait vraiment gentille, mais surtout patiente. Normalement on se las vite de lui quand il fait sa calamité. La, elle restait silencieuse, guettant son moindre mouvement. Calamity Joe remarqua que la main où elle n'avait pas eu de friandise était tendu vers lui. L'étalon semblait du moins un peu plus détendu, mais encore un peu stressé à l'idée d'être dans un endroit totalement inconnu. Mais pour toute cette patience, l'humaine méritait quelque chose. C'est alors que l'animal fit un autre pas. Sa tête était toute proche de la main d'Abby. Il tendit sa tête, touchant la paume de la main du bipède, près à reculer au moindre geste affolant pour lui.

Je regardais le cheval, contente de sentir son corps chaud contre ma main. J'avais gagner un peu la confiance du cheval, ce n'est pas une chose facile dans certains cas, mais c'est toujours un moment unique quand un cheval accepte un humain et qu'il a confiance en celui-ci. Enfin, je savais très bien que je n'avais pas toute la confiance du cheval, mais déjà il voulait bien que je le carresse. Je me mettais doucement sur le coté du cheval, passant ma main valide le long de son encolure.

-Tu m'as l'air un peu imprévisible... Mais tu as peut-être aussi besoin d'affection...

Ceci est la preuve qu'il m'arrive de parler toute seule. Enfin ce n'est pas un crime. Je disais donc, ces phrases étaient des sortes de réflexions personelles faites à voie haute, rien de bien méchant. Mais j'essayais de comprendre le cheval et de cerner son caractère, car je pense que si tu ne comprends pas un cheval, tu n'arriveras à rien avec lui. Même je ne suis pas d'un tempérament patiente et sérieuse, avec les chevaux c'était bien évidement le contraire. Je ne dis pas que j'ai une patience légendaire défiante toute concurrence, non, loin de là. Quelque chose me veint à l'esprit. On n'allait pas rester ici jusqu'à la tombée de la nuit, un petit pansage lui ferait surement le plus grand bien. Mais l'ancien propriétaire du cheval avait eu la bonne idée de repartir avec le licol... Je me souvenais avoir laisser trainer ma boite de pansage dans le coin. Aller savoir ce que je faisais avec alors qu'il n'y avait encore aucun cheval sur le domaine à ce moment là. Je cherchais alors des yeux la grosse boite noire. J'avais surement un licol aussi, ce qui me permetterait de ramener le cheval dans son paddock ou dans un box, ce qui serait plus prudent pour éviter qu'il aille trainer en dehors du domaine et qu'il se blesse. Marchant à reculons et toujours en regardant Calamity, je me dirigeais vers l'endroit où je venais de voir la boite. Je pris celle-ci et revint vers le cheval. Ne cherchant pas à lui mettre le licol, je posais la boîte à un mètre de lui et sortit une brosse.

-Tu as fait un long voyage, tu ne voudrais pas un petit pansage ?

Je la regardais doucement. Elle s'était décaler sur le côté, pour caresser mon encolure. Je frissonna. Cela faisait longtemps qu'un humain ne m'avait pas caresser avec affection. Sa main qui parcourait mon encolure était douce et sans réelle danger. Elle me murmura des phrases, que, bien évidement, je n'y comprenais vraiment rien. Bien que j'eus été dresser simplement à la voix, les mots que la fille venait de dire n'avait pas vraiment de sens, bien que ces paroles étaient douce. Ses caresses me détendait, et je commençais à être entièrement détendu. Puis, elle me quitta à reculons, et alla chercher une boite. Je ne bougea pas, attendant son retour avec curiosité. Mais qu'avait - il dans cette boite ?! Mais, quand je vis un licol posé à 1 mètre de moi avec la boite, je recula brusquement. Je ne voulais pas être attacher, ni être rentrer dans les quatre murs qui ressemblait à rien. C'est alors que je me rendit compte que la jeune humaine ne voulait pas s'en servir, du moins, pas maintenant. Au contraire, elle avait sortit quelque chose de la boite. Une brosse... Quand elle m'adressa la parole, le seul mot que je compris est "pansage". Alors comme sa, elle voulais s'occuper de moi..? J'avançais lentement vers elle, la tête basse. Quand je fus assez près, je tendis mon encolure et renifla la brosse. J'adressai par la suite un regard à l'humaine. Je ne me souvenais plus quel sensation cela procurait, la brosse sur notre corps... Pourtant, dans mes souvenirs, il me semble que ce n'était pas désagréable. Enfin, étant rester avec un riche qui ne s'occupait même pas de moi, j'ai oublier... J'attendis alors qu'elle me brosse.

Je remarquais bien que le cheval avait l'air réticent quand il vit le licol. Le simple fait de le voir l'avait fait reculer. Je souris doucement, et parlais d'une voie calme. Je lui disais de ne pas s'inquiéter que je n'allais pas l'attacher. Je me disais aussi qu'il resterait au prés, si j'arrivais à le conduire dans celui-ci. Il n'allait pas rester dehors tout le temps, il ne fallait pas qu'il lui arrive quelque chose, ce serait idiot. Voyant que le bai se rapprochait pour sentir la brosse, je la lui tendis un peu.

-Ca ne va pas te manger, ni te couper, ni te blesser... Un pansage, c'est pas méchant, peut-être que cela fait longtemps que tu n'en as pas profiter. Mais rassures toi, ici, tous les jours tu en auras un.

Je savais très bien que le cheval n'allait pas tout comprendre. Mais ce n'est pas interdit de bavarder avec un cheval ? Il suffit de prononcer des paroles d'une voie calme et appaisante et déjà, on se sent écouter non ? Je passais une main sur l'encolure du cheval, lui brossant le dos doucement. Il n'était pas particulièrement sal mais comme toujours, de la poussière s'envolait au moindre mouvement de brosse. Le pansage est toujours un moment unique, ou un lien se tisse entre le cheval et le cavalier si le pansage est fait correctement. Gardant toujours une main sur le corps du cheval, je le brossais partout sans me presser. Partout est égal au ventre, au dos, à la croupe et à l'encolure. Je fis les deux cotés, cela me prit bien dix minutes car je prenais le temps de parler au cheval, passant la brosse doucement. Je lui racontais n'importe quoi, tout ce qui me passait par la tête, mais toujours avec cette même voie calme et appaisante. Ensuite j'allais chercher une brosse douce, comme avec le bouchon, je la lui présentais en lui mettant devant les naseaux. Puis doucement, je l'approchais de son chanfrein pour la passer sur sa tête. J'avais posé mon autre main entre ses naseaux.

Ses phrases m'apaisèrent étrangement. Bon, a priori, cela n'avait pas l'air d être méchant. Cependant, je garda un peu de méfiance. Sa pourrais sûrement me faire une sensation bizarre. Une de ses mains s'était posé sur mon encolure, tandis que l'autre, commença à brosser mon dos brun. J'eus tout d'abord un petit sursaut, et je fit un léger écart entre elle et moi. Ce n'était pas désagréable... Au contraire. Enfin, sa surprend quand cela fait longtemps que l'on en reçois pas un seul ! Je commençais à ne plus être méfiant. La nervosité commençait doucement à me quitter. J'étais à présent presque complètement détendu. La jeune humaine me passa des doux coups de brosse sur mon ventre, a mon dos, à ma croupe et à mon encolure. La bipède avait beau avoir fait les deux côtés, je trouvais que le temps était passer trop vite. Si j'aurais pus lui parler, je lui en aurait re - demander... Elle me quitta pour aller déposer la brosse. Je poussa un long et pénible soupir. Puis, à ma grande surprise, la fille revint avec une autre brosse. Elle me la présenta, et je prit soins de l'inspecter. Cette dernière semblait plus douce que la précédente, et n'avais pas l'air d'être un objet dangereux. L'humaine la passa sur ma tête. Je ferma mes yeux, me laissant brosser délicatement pas la fille. Soudain, sa main se posa entre mes naseaux. J'avais encore du mal à supporter le fait de toucher mon nez. En vérité, je n'ai jamais aimé ça... Par habitude, je leva brusquement ma tête du plus haut que je pouvais, et je recula de quelques pas. Je poussa un petit hennissement, puis balança ma tête de haut en bas. Je fis cela pendant à peine 5 petites secondes, puis je me calma. Je fit des petits pas pour rejoindre de nouveau l'humaine. Je baissa mon encolure, et je posa mon chanfrein contre une des épaules de la fille. Je n'avais pas d'autre moyen, puisque je n'aime pas ce contact de mes naseaux. Je n'ai pourtant rien eu par apport à ça, c'est juste que je n'ai jamais aimé ^^. J'avais posé ma tête aussi parce que je voulais montrer à la jeune que je n'avais rien contre elle. C'est vrai, elle ne pouvais pas savoir que je n'aime pas sa... D'un autre côté, elle a de la chance parce que ce n'est pas tout les jours que je suis câlin !

Je fus heureuse que le cheval ferme les yeux. Il me montrait qu'il aimait ça, c'était une bonne chose. Et puis, le pansage finit, je suis sûr que le cheval aura un peu plus confiance en elle. Du moins, je l'espère. Je fut très surprise que le cheval bai recula si brusquement, mon premier réflexe fut de reculer aussi, puis de regarder de droit à gauche, cherchant la cause de ce que venait de faire le cheval. Mais voyant comment il bougeait la tête, je regardais ma main qui s'était posée entre ces naseaux. Le cheval n'avait pas l'air d'avoir apprécier. Je ne savais pas trop quoi faire. Je me demandais si l'on avait fait quelque chose de spécial pour qu'il refuse qu'on lui touche le nez. Lorsque j'avais reculer, j'avais laisser tombé ma brosse. Je me penchais alors pour la ramasser mais je fut très surprise de voir le cheval si près. Il avait posé sa tête contre mon épaule.

-Ah, mais c'est ton moment câlin...

Je laissais retomber ma brosse sur le sol, celle tomba sans faire aucun bruit. Et je tapotais l'encolure du cheval, tenant son encore entre mes deux mains. Gros câlin Une calamité arrive ! ! [ Libre ] 774305

Puis je posais une main sur son chanfrein.

-Bon je suis pas une pro mais j'ai lu quelque chose sur les massages, j'vais tenter Une calamité arrive ! ! [ Libre ] 474872

Je ne laissais que mon index touché le chanfrein du bai. Puis je commençais à faire des mouvements circulaires, ces massages étaient censé détendre un cheval. Je sentais les muscles de l'équidé sous mon doigt. J'exécutais ces mouvements pendant quelques minutes. Silencieuse, je finis par arrêter et je ramassais la brosse pour la passer sur les membres du cheval. C'était plutôt calme, il n'y avait pas un bruit. Je passais la brosse douce sur les pattes du cheval, prenant soin d'enlever le sable, je passais aussi un petit coup sur les sabots. Je suis sûr qu'une fois ce pansage, le cheval sera propre comme un sous nef Une calamité arrive ! ! [ Libre ] 774305

Mais ce n'était pas une corvée alors aucun problème pour moi, j'étais contente de pouvoir me rapprocher un peu plus du cheval.