(( Box de Calamity Joe ))

Spoiler:

CAVALIER ? : NAN

Des personnes me prirent par la sombre longe qui était attacher à mon licol. Mais que voulaient - ils ?! Ne comprenant pas pourquoi ces 5 personnes me criaient dessus, je restais sur place, pétrifier. Pour une fois que je ne bougeais pas (xD). Puis, un homme me donna un coup. Trop c'est trop ! Je veux bien être gentil, mais avec ce genre de personnes qui recoure à chaque fois avec la violence. Frapper les animaux, et puis quoi encore ?! Je me cabra, faisant tomber au passage quelques hommes. Tous s'étaient écarter. Ben tiens ! Pour frapper et grogner, c'est simple, mais quand l'animal se rebelle, la il n'y a plus personne... Je partis au petit trot en direction d'une touffe d'herbe bien fraiche. Je n'eus pas vraiment le temps d'y gouter car les hommes arrivèrent vers moi et me saisi la longe ainsi que le licol. Ils m'entrainèrent dans ce nouvel endroit que je connaissait à peine. Je me laissa faire, mais avec prudence. D'habitude, j'ai horreur qu'une personne inconnu m'attrape, mais la, peut être qu'ils allaient m'emmener dans une prairie ..? Puis, je remarqua que sa n'allait pas être un pré avec de la tendre herbe... Non, les hommes se dirigeaient tout droit vers les boxs. Ils se dépêchèrent de me faire entrer, ils détachèrent la longe et fermèrent soigneusement le loquet. Le problème, c'est que je n'aime pas me sentir enfermer. Déjà que le van est insupportable, alors un box ! Sa ressemble à rien en plus ! C'est sombre, avec 4 gros murs, de la paille et, quand on a de la chance, il y a a manger. J'avais beau avoir vu le jour dans cet endroit, je ne l'ai jamais aimé ! Chez mes anciens propriétaires, à la ferme, j'étais libre. Je travaillais, certes, mais dans des grands prés qui s'étendaient dans plusieurs km. C'était comme le paradis. Et puis, il y avait ma mère... Enfin, je vais devoir refaire ma vie ici. D'ailleurs, je ne sais même pas où je suis --'. J'avançais ma tête dehors. Le vent frais du matin vint me mordre le bout de mon nez. Il y avait beaucoup de nuage, mais le soleil était présent, réchauffant ma robe brune. Dans le box, il faisait froid U_u. Personne à l'horizon... Bon, et bien, la seul façon de sortir d'ici, c'est d'attirer l'attention ! Je pris donc une profonde inspiration... Je poussa des hennissement de détresse, de fureur, de rage ! Mes oreilles, je les plaquaient en arrière, bien couché sur ma sombre encolure. Je tapais tout d'abord avec mes membres contre la porte en bois. Je m'arrêtais, sa ne faisait pas assez de bruit à mon gout... Alors je me mit à cabrer à plusieurs reprises, faisant tomber lourdement mes sabots contre la porte. Le bruit était assourdissant. Bien, la je serais quand même un peu plus remarquer. Je continuais mes terribles hennissements. J'espérais ne pas devoir attendre trop longtemps tout de même...

Admin Nombre de messages : 119 Age : 30 Date d'inscription : 16/06/2008

De timides rayons de soleil, réchauffaient la fine couche de gèle qui s'était déposée sur le sol, quelques nuages étaient présent dans le ciel, mais pourtant une belle journée s'annonçait. Aaron avançait d'un pas rapide, se dirigeant avec fermeté vers les écuries, il ne prit pas la peine de regarder le paysage qui pourtant en ferait rêver plus d'un. Non, sa tête était légèrement baissée et il fixait le sol, examinant chaque petite couche de gel pour éviter d'avoir a marcher sur du verglas, ce qui augmenterait ses risques de chute. Il n'avait pas revétu sa tenue d'équitation, d'ailleur il était rare de le voir habiller comme ça, il préférait s'habituer a monter avec n'importe quel vêtement puisque pendant le spectacle des déguisements seront indispensables.

Aaron se passa la main dans les cheveux, qu'il n'avait pas eut le temps de bien coiffer, il les ebourrifa légèrement en bayant. On l'avait informé de l'arrivé d'un nouvel étalon, et comme la plupart des palefreniers qui s'occupaient de transporter les chevaux n'étaient pas très amicals, Aaron préférait s'en occuper, sauf qu'un puissant henissement l'informa qu'il était encore en retard.
Il soupira et accelera d'avantage le pas jusqu'à ce qu'il se trouve devant l'entré des écuries. Son pas devint plus lent et ses gestes plus doux, pour ne pas apeurer le nouvel étalon. Il le remarqua directement, sa tête était sortit et il avait deviné que les palefreniers le mettraient directement dans un box. Le jeune homme siffla doucement pour attirer l'attention, alors qu'il s'approchait doucement de la porte de son box, il s'arreta a deux mètres de celle-ci, et resta immobil observant les gestes de l'animal tout en lui parlant calmement pour le rassurer.

- Bah alors mon beau on t'a enfermé ici après de si longues heures de voyage ? T' inquiète pas je vais m'occuper de toi.

Il attrapa une longe qui trainait plusieurs mètres plus loin et la posa sur son épaule, elle pourrait peut être lui servire. Il tendit doucement le dos de sa main près des naseaux de l'étalon pour que celui ci s'inprègne de son odeur. Ses gestes restaient doux mais confiant, il guettait le moindre geste de l'étalon observant le moindre mouvement de ses oreilles ou de sa queue.

Bien concentré dans ce que je faisais, je n'entendit pas tout de suite ce que je devais entendre... Enfin, ce que j'attendais de pouvoir entendre. Puis, une forme se rapprocha. J' arrêta de me cabrer, mais je continuai à hennir. C'est alors qu'une voix résonna dans mes oreilles. Une voix masculine, pour commencer. Son ton était calme et plutôt rassurant. Dans sa voix, je sentais qu'il ne me voulait pas de mal. Je redressa mes petites oreilles, tourner ver le jeune homme qui venait de me parler. Je l'inspectait du regard. Bon, pour l'instant, il n'a pas l'air méchant. Puis, le bipède alla prendre une longe qui trainait dans le coin et la posa sur son épaule. Mes oreilles allèrent en arrière. Puis, il se rapprocha de moi, sans utilisé la longe. Mes oreilles se redressèrent. A vrai dire, elles ne restèrent pas longtemps ainsi car, quand il approcha le revers de sa main tout près de mes naseaux, je ne put m'empêcher de les plaquer. Je reculais brusquement au contact de sa main fraiche sur mon nez. D'ailleurs, j'avais un peu trop reculer car je me cogna contre le mur. Ceci me fit sursauter et je partis sur le côté, fusillant le mur du regard. Sauf que, quand je me décala, je me cogna aussi contre l'autre mur --'. Je m'avança ver la porte, fusillant l'autre mur de mon regard noir. Je l'avais bien dit, les boxs, c'est pas pour moi ! Je regardais le jeune. Il n'avait pas bouger oO. Bon, aller... Il faut bien faire un effort tout de même... Et puis, je me doute bien qu'il va pouvoir me faire sortir d'ici. Je m'avança donc vers lui, puis je tendis mon encolure, et renifla sa main de mon souffle chaud. J'eus soudain un petit frisson. J'avais presque oublier qu'il faisait froid dans ce quatre murs où l'on se cogne de partout ><. Je lui fit un petit hennissement, cette fois - ci, il n'avais rien avoir avec les autres. Celui - ci était joyeux. De toute façon, même si il me prend en longe la, ce n'est pas pour autant que je vais me laisser faire comme un vieux pépère qui obéie au doigts et à l'œil. Enfin, je verrais bien ce qu'il me réserve. Si sa se trouve, il va vouloir me monter oO. Et bah, c'est pas en 5 minutes que sa va se faire mouahaha ! Je donna un petit coup contre la porte. Je voulais sortir...

Admin Nombre de messages : 119 Age : 30 Date d'inscription : 16/06/2008

Le jeune homme observait l'étalon qui ne semblait vraiment pas être dans son environnement entre ses 4 murs. Qui le serait après avoir voyagé aussi longtemps enfermé ? Aaron ne broncha pas, il savait être très patient quand la confiance d'un cheval était en jeu. la confiance de l'étalon ne serait pas la plus facile a prendre, mais Aaron, comme tous les hommes, aimait bien les défis. Un souffle chaud vint s'étendre sur la main du jeune homme alors qu'un joyeux henissement accompagnait ses gestes. Un beau sourir illumina le visage du jeune homme, qui après quelques instants enleva sa main, tout en parlant à l'étalon comme pour le féléciter.

- T'as interêt à te souvenir de mon odeur car tu n'auras pas la chance que je te permette de la sentir tous les 4 matins

Aaron adressa un joyeux sourir a l'étalon puis s'éloigna du box en sortant de l'écurie, il s'arreta juste a la sortie, inspecta les lieux, et revint sur ses pas. Drole de comportement me diriez vous, mais peut être qu'il vérifiait juste qu'il y avait de la place dans le pré, et que le grand portail était bien fermé? Ce qui d'ailleurs était le cas. Il se replaça devant le box

- He oui c'est encore moi

Il parlait beaucoup aux chevaux, ça leurs permettaient de se familiariser avec sa voix et surtout il pouvait ainsi les rassurer et les féléciter sans avoir a les toucher. Il replaça bien la longe sur son épaule car celle ci glissait et s'approcha d'un pas assuré mais calme vers la porte du box.

- Alors mon beau ça te dit de te dégourdir les papattes ?

Le jeune home enleva lentement le loquet du bas, il tenait à ce que la sortie de l'étalon se fasse dans le calme et que celui-ci se montre respectueux vis à vis du jeune homme. Ainsi au moindre énervement qui dépasserait les limites, Aaron le rectifirait avec la voix et n'hésiterait pas à reculer le moment de l'ouverture. Par contre si l'étalon restait calme sans trop d'énervement et respectueux, il pourrait sortir plus vite, tout en étant féléciter de la voix.

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