Neskio Eawy [Etalon]

.Neskio Eawy.

.Photo.

Neskio Eawy [Etalon] Neskio2dw9

.Nom.
Neskio Eawy

.Age.
6 ans

.Rage.
Selle Français

.Origine.
Neskio est né en Angleterre, dans un élevage de selle français créé par des français (logique non ?). Ce couple de français avait décidé de faire leur élevage en Angleterre car ils trouvaient qu'il y avait déjà bien assez d'élevage de cette race en France. Ils furent rapidement reconnu pour leurs bons chevaux de CSO et de complet.

...

.Histoire.
Depuis quelques heures, la jeune fille de 16 ans s'activait dans sa chambre. Elle n'en pouvait plus d'attendre. Elle collait son oreille contre le mur droit de sa chambre. Il n'y avait aucun bruit dans la pièce d'à cotés. Comment pouvaient-ils dormir ? Soudain , on frappait à sa porte. La jeune fille sursautait et allait ouvrir. Sa mère se tenait face à elle. La grande femme la regardait avec un petit sourire en coin et avec ce regard rassurant qu'on les mères pour leurs enfants. Aucunes d'elles ne parlaient. Sa mère regardait le lit fait de sa fille. Elle comprit qu'elle ne s'était pas couchée. Comme tous les soirs depuis deux semaines, la jeune fille tournait en rond dans sa chambre, elle finissait par s'endormir tard dans la nuit. Sa mère posait une main sur l'épaule de sa fille qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eaux.

"- Ne t'inquiètes pas..."

La jeune fille allait protester quand son père arriva en courant, un téléphone à la main et un grand sourire sur les lèvres. L'année dernière, l'une des meilleures juments de sa mère, qui avait gagner beaucoup de concours, prenait sa retraite. Sa mère avait donc décider de faire pouliner la jument. Elle avait donc choisi l'étalon de l'élevage, qui était très bon en CSO. Le poulain était donc destiner à être un crac en obstacle. Mais sa mère avait décidé de le donner à sa fille. La jeune fille, qui montait à cheval depuis son plus jeune âge, allait commencer les concours avec un petit cheval, bon pépère, bon cheval de club. Ce cheval pourrait l'emmener loin mais très peu par rapport au futur cheval. Avec ce bon cheval d'école, elle pouvait se mettre dans le bon des concours en attendant que l'autre cheval soit débourrer et près à sortir en concours. La jeune fille était donc ravie, elle allait pouvoir voir grandir son poulain et aussi, elle pourrait le débourrer elle même. La jument aurait dû mettre bas il y a 2 semaines, c'est pour cela que la jeune fille s'inquiétait. Son père n'eut pas besoin de parler. Le large sourire de son père se propagea, et toute la famille courut en direction des box. Son père avait appelé le vétérinaire du coin. Celui-ci lui donnait des indications au téléphone. La jeune fille trouvait, en arrivant dans le box, la jument allongée, elle avait perdue les eaux depuis 5 min, expliquait son père. La mère de la jeune fille, s'accroupit à coté de la tête de sa jument. Elle lui murmurait des paroles apaisantes, lui caressait la tête. La jeune fille ne savait pas quoi faire, elle restait tel un piquet dans un coin du vaste box. Puis la jument commençait alors le dur combat. Rapidement et sans problèmes, on réussi à apercevoir les antérieurs du poulain, puis sa tête, son ventre et enfin les postérieurs. Le grand homme brun écoutait à peine les indications du vétérinaire, il avait déjà fait pouliner des juments, il avait juste appeler le vétérinaire si quelque chose se passait mal. Le poulain entièrement sorti du ventre de sa mère avait les yeux fermés. Un petit être fragile bougeait doucement sa fine tête.

"-Il est noir !"

La jeune fille n'avait pu se retenir. Avoir un cheval noir était un rêve pour elle. Elle aimait beaucoup les cheveux noirs. Mais sa mère se tourna vers elle et lui sourit gentiment.

"-Ce n'est pas sûr qu'il reste noir tu sais, il serra peut-être bai..."

La jeune fille tenta de cacher sa déception derrière un petit sourire. Son père avait raccroché le téléphone et il alla prendre sa fille dans ses bras. Puis il attrapa sa femme par les épaules, l'attirant contre sa fille et lui. Il avait un grand sourire aux lèvres.

"-Ce sera peut-être un des meilleurs de notre élevage ! Et puis c'est un étalon, s'il est aussi bon que sa mère et que son père, ce sera fantastique ! C'est ton cheval Emy, mais tu en feras profiter tes
parents n'est-ce pas ?"

Tout trois rigolèrent, les yeux posés sur le poulain noir, que sa mère avait rejoint. Celui-ci avait levé les yeux vers sa mère, puis il commençait à essayer de se mettre debout. La grande femme aux cheveux blonds proposa de rester veiller sur le poulain la première. Son mari avait veiller depuis la tombée de la nuit jusqu'à la naissance du poulain qui avait eu lieu à 1h du matin. La jeune fille fut surprise, elle qui pensait que ses parents dormaient... Elle quitta à grands regrets la mère et le poulain, elle embrassait sa mère qui avait déjà pris place sur une chaise avec un livre entre les mains. Mais elle eut bien du mal à trouver le sommeil, elle se creusait la tête pour trouver un nom au poulain. Elle finit par se dire que Neskio lui irait bien... Cela faisait déjà 4 mois que le poulain était né. C'était un magnifique poulain, aux grands regrets de la jeune fille, il s'était un peu éclaircis depuis la naissance. Il gambadait dans son prés en compagnie de la jument alezane qui était sa mère. Il avait l'air fière et ne se faisait pas prier de faire le fou chaque fois que quelqu'un passait devant son prés. Emy s'appliquait tous les jours à lui mettre son licol et à lui demander ses membres. Au début, il avait été un peu réticent mais maintenant il se prêtait volontiers au jeu. C'était les grandes vacances scolaires, la jeune fille pouvait donc en profiter.
Puis l'hiver arriva, il faisait particulièrement froid et chaque nuit, les chevaux rentraient au box. Mais c'était de plus en plus compliqué car le poulain avait décider de ne plus suivre sa mère. La jeune fille le prenait donc en longe. Mais heureusement pour elle, il avait confiance, alors que si le palefrenier tentait de le prendre, il se cabrait. A 11 mois, le poulain était sevré depuis longtemps, c'était devenu un grand bébé, d'une robe bai foncé presque noire, ce qui plaisait beaucoup à sa maitresse. Il se montrait très joueur et très intelligent. La jeune fille pouvait en faire ce qu'elle voulait, montrant sa confiance qu'il avait pour elle. Son père répétait souvent qu'il serait un excellent cheval d'obstacle. Un jour, la jeune fille le manipulait dans la carrière d'obstacle et il lui échappa des mains, d'abords tout content d'être libérer, il galopait, se cabrait, partait en saut de mouton. La jeune fille voulait lui faire découvrir les obstacles en l'emmenant dans cette carrière, alors avant de faire le travail habituel ( Donner les pieds ect...), elle lui avait montré tous les obstacles un par un. Mais le poulain n'était pas du tout craintif. Galopant sans regarder où il allait, il se retrouvait à franchir une barre au sol. Sautant par dessus, il se calmait quelques mètres plus loin et revint renifler cette chose blanche. Il repassa au pas par dessus pour rejoindre sa maitresse. Depuis, elle le faisait souvent passer des barres au sol, variant les couleurs pour l'habituer à en voir des rouges, des jaunes, des vertes... Le cheval prenait un malin plaisir à se libérer de l'emprise de son amie pour foncer sur la barre et passer dessus comme si de rien n'était. Mais la jeune fille le reprenait toujours jusqu'à arriver à franchir la barre au pas. Mais à 2 ans, il se passait quelque chose qui restera gravé dans la mémoire du cheval. Parlons donc de ce moment qui changea le destin du cheval. Il faisait froid et le cheval allait toutes les nuits dans son box. Même si il ne supportait pas trop, il avait confiance en sa maitresse et vu que c'était celle-ci qui lui conduisait, il restait dans son box. C'était une nuit de pleine lune, il faisait froid comme d'habitude. La seule chose qui était nouvelle dans cet environnement était le palefrenier. C'était sa première nuit à l'écurie et pour ne pas que les chevaux est trop froid, il avait allumé un réchaud. Une petite flamme s'en échappait. Il y eu un coup de vent dans l'entrebâillement de la porte et le réchaud se renversait et se cognait dans un tas de paille posé juste à coté. Ensuite, tout pris feu. Tous les chevaux commencèrent à paniquer, la tête en dehors de son box, Neskio hennissait, appelant la jeune fille.Beaucoup moins paniquer que les autres, il commençait à marteler la porte de son box. Mais le feu finit par gagner son box, la croupe du cheval fut heurter par le coin d'une poutre qui tombait du plafond, même si la poutre ne lui était pas tombée dessus, il se retrouvait au sol. Il se relevait rapidement, le feu ayant rendu plus fragile la porte de son box, il donnait un coup d'antérieur et s'enfuit par la porte que le vent avait grande ouverte. Au milieu des bâtiments, il hennit et enfin quelqu'un sortit de la maison. Le cheval renâclait, piaffait, et la femme regardait l'écurie partir en feu, des larmes coulant de son visage elle retournait dans la maison hurlant qu'il fallait appeler les pompiers. Neskio était le seul à s'en être sortit, mais il ne se laissait plus approcher. Même la jeune fille avait du mal. Ses parents vendirent ce qui restait du domaine, arrêtant donc l'élevage. Neskio fut vendu à un marchant de chevaux qui allait l'envoyer à la boucherie quand un homme en voyage décidait de reprendre le cheval. C'était un vieil indien, un Cherokee qui vivait dans une réserve aux Appalaches. Quand le vendeur eut finit de raconter l'histoire de Neskio, il se dit qu'il arriverait surement à lui redonner goût à la vie. Il possédait une écurie, où il soignait les chevaux difficiles, à problèmes. C'est pourquoi le cheval partit en bateau pour l'Amérique. Ce fut très dur de le faire entrer dans un box, mais le vieil indien avait l'habitude de ce genre de chevaux. Il réussit
rapidement à approcher le cheval après un jour dans le bateau. Même si il savait qu'il n'avait pas gagner la confiance de Neskio, il tentait de le calmer, passant tout son temps à ses cotés. Il cernait rapidement son caractère. Le commandant du navire ne supportait plus le cheval qui ne cessait de casser le box, et il fut bien content une fois la traversée finie. Mais le voyage en van ne fut pas de tout repos. Quand le fils du vieux Cherokee descendit la rampe du van, il fut très mécontent de constaté que le cheval avait casser la barre de poitrail et le bat-flanc du van, ainsi que la barre de cul. Le cheval sortit en un bon du van, il était trempé et montrait le blanc des yeux.

"-Il est affolé..."

L'indien parlait d'une voix calme. Son fils ne cherchait pas à savoir si les paroles lui était destinées ou non. Il relevait le pont du van et s'en allait, laissant son père et le cheval. Neskio avait casser sa longe, il n'était plus qu'en licol. Il humait l'air profondément, haut perché sur ses grandes pattes puis il posait son regard intelligent sur le vieil homme. Le vieil indien savait que ce serait difficile de gagner la confiance du cheval. Il ne s'inquiétait pas non plus de le voir en liberté. Le portail était fermé, coupant la route du cheval si il voulait s'en aller par ici. Sinon il devait passer à coté de l'indien. L'homme posait son regard sur un prés non loin de là.

"-Je ne te mettrais pas au box."

La petite fille du Cherokee arrivait, il lui demandait d'aller ouvrir la porte du prés. Elle s'exécutait sans rien dire. Et elle observait son grand père. Le cheval fit volte-face et s'en allait vers le portail mais il comprit rapidement que ce ne serait pas par ici qu'il s'échapperait. Il tournait sa fine tête vers l'indien. Celui-ci s'avançait vers le cheval qui partit au grand trot vers la barrière du prés. Longeant le prés, il se retrouverait rapidement face à la jeune fille qui ne bougeait pas, mais reculait comme il continuait d'avancer vers elle. Son grand-père s'était placé derrière elle et quand, par réflexe, elle se décalait, le cheval se retrouvait face au vieil homme mais ne pouvant tourner à gauche à cause de la jeune fille, il pénétrait dans le pré qu'il parcourut au galop pour s'en aller au fond et il regardait l'indien et la petite fille. En un an, le vieil indien avait réussi à gagner la confiance du cheval. Il avait passer des heures et des heures dans son prés à attendre que le cheval vienne vers lui. Assis dans l'herbe, le cheval, curieux, finissait toujours par venir. Au bout de 3 mois, il réussit à le caresser n'importe où. La petite fille et son grand-père l'avait rebaptisé Eawy. Donc, en un an, n'importe qui était capable d'emmener le cheval en licol n'importe où, à le brosser, à le soigner. Le vieil indien commençait même à le monter sans harnachement. 5 mois plus tard, il faisait monté sa petite fille de 12 ans dessus avec un selle, un filet, un tapis et tout le tralala. Eawy était redevenu docile et il accordait enfin sa confiance aux humains. Quand le cheval eu 4 ans, c'était devenu un magnifique cheval bai foncé, aux puissants muscles. Le vieux Cherokee avait même réussit à dissiper sa peur de l'enfermement. Il décidait donc qu'il pouvait le revendre, car il voyait bien qu'il avait besoin de faire de grandes choses. Le vieil homme avait bien évidement remarquer son goût pour l'obstacle. Il trouvait une écurie convenable et conseillait tout de même d'attendre un peu avant de mettre le cheval au box.
Neskio Eawy arrivait donc dans une autre maison. C'était un vieux couple gentil. Leur fille entrainait le cheval à l'obstacle pendant un an avec plaisir. Elle commençait les concours, Nee' les remportant haut la main. Mais quand le gérant de l'écurie mourut, la vielle femme s'en allait en maison de retraite car elle tombait malade. Leur fille arrêtait de monter Eawy car c'était son frère qui avait hériter du domaine. Pour le faire sauter plus haut, on lui frappait les antérieurs au moment du saut pour qu'il lève plus les pattes, ou alors deux personnes se plaçaient de chaque coté d'une barre et levait la barre au moment du passage du cheval. Pleins de techniques ignobles forçant le cheval à sauter plus haut. Il l'enfermait tout les jours et le cheval ne mit pas longtemps à péter les plombs chaque fois qu'il sortait de son box. L'homme se débarrassait alors du cheval qui était maintenant devenu incontrôlable, et fou dès qu'il voyait une barre. Voilà donc l'arrivée de Neskio Eawy ...

.Caractère.
Neskio
Eawy est un étalon caractériel. Pour l'instant, il n'aime pas trop la
compagnie des humains. C'est un cheval puissant et fougueux, pour tout
dire il n'est pas très délicat et il faut tout de même s'en méfier. Ce
n'est parce qu'il vous a laissé le caresser qu'il ne va pas vous mordre
ou vous marcher dessus après. On pourrait croire qu'il ne sait pas
qu'il a quatre papattes bien à lui et qu'il a autant de force. Nee' est
très gourmand, si vous voulez vraiment l'approcher, venez avec une
pomme, je ne vous garantis pas qu'il va rester à vos cotés mais il
viendra vous voir le temps de saisir ce délice. Avant, l'étalon n'était
pas aussi réticent face aux humains, il les accueillait volontiers avec
un hennissement joyeux, toujours près à se pavaner devant la foule. Il
aimait se sentir observé et acclamé, maintenant, si vous restez trop
longtemps devant lui sans rien faire, il vous chassera. Souvenez vous
également qu'il faut toujours se méfier de lui et le faire travailler
régulièrement.
Neskio ne supporte pas le box et si jamais il est rarement au prés et
que vous ne le faite pas travailler régulièrement, il deviendra
incontrôlable. Pourtant dans le fond, on peut remarquer que c'est un
cheval sensible et intelligent. Quand il aura confiance en son
cavalier, il fera sûrement des efforts pour contenir sa puissance (il
faudra bien sûr parvenir à gagner sa confiance, ce qui pourrait
s'avérer peu facile). Il faudra s'armer de patience. Monter... C'est
encore
une autre histoire, déjà s'il vous accepte sur son dos c'est pas mal.
Ensuite, vous serez surpris par sa façons de marcher, puissant et
pressé, l'étalon marche déterminé, vous serez un peu secoué... Mais il
reste très confortable. Il est imprévisible alors ne croyez pas avoir
gagné une fois que vous aurez réussi à faire un tour de manège au pas...

.Description physique.
Neskio
Eawy est un étalon plutôt grand, il toise 1,77 au garrot. De grandes
papattes, plutôt fines ! Il n'est pas très gros et donc c'est dur de le
garder en état l'hiver. Ses muscles sont bien dessinés, montrant sa
force ainsi qu'une forte croupe. Il est d'un bai foncé, presque noir.
Il possède une fine tête à moitié cachée par ses crins. Son regard
révèle une grande sensibilité et un cheval intelligent. A la première
approche, Nee' est imposant, ce n'est pas un gros nournours. Neskio
possède une marque blanche sur le chanfrein ainsi qu'une balzane
blanche au postérieur gauche, et aussi une cicatrice longue de dix
centimètres sur la croupe.